CHLOÉ GRONDEAU
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LISA DUROUX — JULIE KIEFFER — CAROLINE SAVES — BENOÎT VIDAL — VICTOR YUDAEV 
COMMISSAIRES — MARIE BASSANO — SIMON FEYDIEU — PERRINE LACROIX — JULIE RODRIGUEZ-MALTI

CONVERSATIONS MONTRÉAL | LYON
RÉSIDENCES ET EXPOSITIONS

UNE COLLABORATION ENTRE LES CENTRES BIKINI, LA BF15, NÉON ET TATOR (LYON) ET ARPRIM, DIAGONALE, GALERIE B-312 ET LA VITRINE, ATELIER DAIGNEAULT | SCHOFIELD (MONTRÉAL)

Initié par les commissaires Marthe Carrier et Chloé Grondeau, la Galerie B-312 propose Conversations, un projet d'expositions au sein duquel Lyon et Montréal se rencontrent afin de mettre l'emphase sur les scènes artistiques de leurs villes respectives. Deux territoires et surtout deux bassins d'artistes jouissant d’une importante reconnaissance publique. Relevant d'une pluralité de médiums et d'un éventail d'artistes à différentes étapes de leur carrière, cette proposition transatlantique se divise en deux temps : Au printemps 2018, Marthe Carrier et Chloé Grondeau ont investi cinq espaces de diffusion avec une proposition curatoriale puisant au coeur de la création montréalaise. Bikini, La BF15, la Galerie Tator, laFactatory et Néon, avec la complicité de Moly Sabata, ont accueilli des expositions individuelles et collectives pour une mise en lumière d'artistes résidant outre-atlantique.

En janvier 2019, ce sont les diffuseurs lyonnais qui se déploient sur le territoire montréalais, alors que cinq artistes présentent leurs expositions à La Vitrine, atelier Daigneault | Schofield, à Diagonale, chez Arprim, centre d'essai en art imprimé et à la Galerie B-312.




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Jessica Auer, Still Ruins, Moving Stones, 2014
AU LOIN UNE ÎLE 
Avec: Annabelle Arlie, Jessica Auer, Amy Balkin, Cécile Beau, Julien Discrit, Dominic Gagnon, Enrique Ramirez, Capucine Vever, Paul Walde, we S.A.N.K.​.

​1.02 - 14.03.2018
Vernissage 1.02, 18h30

L’exposition AU LOIN UNE ÎLE est le troisième et dernier volet d’un projet développé entre les centres d’art Diagonale (Montréal) et Mains d’Œuvres (Paris), ayant pour point de départ la mise en dialogue d’artistes européens et nord américains.
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Imaginant ces territoires comme deux insularités fictives intrinsèquement liées à la mer qui les sépare, l’exposition propose une variation sur la transposition contemporaine de la figure de l’île en tant que lieu d’incarnation des questionnements socio/géopolitiques liant l’humain et son environnement. L’île est dès lors ici pensée comme entité géographique et tangible, ainsi que concept au sein duquel s’incarne le devenir autre, l’alternative, le futur. Mais plus qu’un découpage territoriale imaginaire ou réel identifié, ses différents corollaires prennent les traits d’œuvres protéiformes qui révèlent le « tendre vers » de ces nouveaux robinsons, et scrutent le mouvement de ceux qui sont en quête d’une réponse aux enjeux contemporains.

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Mains d'Oeuvres
​1, rue Charles Garnier
93400 Saint-Ouen
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Projet global
DIAGONALE (Montréal, Ca) + MAINS D’ ŒUVRES (St Ouen, Fr)
2016 – 2018

Soucieux de faire rayonner les scènes artistiques qui les animent et désireux de travailler main dans la main dans un projet critique aux multiples facettes, Diagonale (Montréal) et Mains d’Œuvres (St-Ouen) développe depuis 2016 une initiative singulière à l’intérieure de laquelle chacun des deux lieux vient investir l’autre et développer une proposition curatoriale in situ. Construit en trois temps, cet ambitieux projet à deux têtes a connu ses prémisses en 2016, pour se voir perdurer en 2017 puis 2018.
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CONVERSATIONS
Avec: Guillaume Adjutor Provost, Phil Allard,  Jean-Pierre Aubé, Thomas Bégin,  Julie Favreau, Isabelle Guimond, Noémi McComber, Tricia Middleton.

Commissaires: Marthe Carrier et Chloé Grondeau
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​5.04 - 26.05.2018

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Initié par les commissaires Marthe Carrier et Chloé Grondeau, la Galerie B-312 (Montréal) propose Conversations, un projet d'expositions au sein duquel Lyon et Montréal se rencontrent afin de mettre l'emphase sur leurs scènes respectives. Deux territoires et surtout deux bassins d'artistes jouissant d’une importante reconnaissance publique. Relevant d'une pluralité de médiums et d'un éventail d'artistes à différentes étapes de leur carrière, cette proposition transatlantique aura lieu en deux temps :

Au printemps 2018, Marthe Carrier et Chloé Grondeau investiront cinq espaces de diffusion avec une proposition curatoriale puisant au coeur de la création montréalaise. Bikini, La BF15, la Galerie Tator, la Factatory et Néon, avec la complicité de Moly Sabata et de Broadcast Poster, accueilleront expositions individuelles et de groupe pour une mise en lumière d'artistes résidant outre-atlantique.

En 2019, ce seront les diffuseurs lyonnais qui se déploieront sur le territoire montréalais.


GALERIE TATOR
Jean-Pierre Aubé
Thomas Bégin

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36 Rue d'Anvers
​69007 Lyon, France
LA FACTATORY
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Philippe Allard

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99 bis Avenue Jean Jaurès 
69007 Lyon
LA BF15
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Julie Favreau



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11 quai de la Pêcherie
69001 Lyon
BIKINI
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Guillaume Adjutor-Provost

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15 Rue de la Thibaudière 
69007 Lyon
NÉON
Isabelle Guimond
Tricia Middleton
Noémi McComber

41 Rue Burdeau 
69001 Lyon

          Galeria perdida, The blind don't see black, they see nothing, 2015                                                   Kapwani Kiwanga, Form of Absence, 2014                                                                               Ivan Argote, Feeling, 2009

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PATTERN
Avec: Mathieu Arbez, Ivan Argote, Ines Doujak , Adélaïde Fériot, Kapwani Kiwanga, Vincent Malassis, Tim Messeiller, Ken Nicol, Galeria Perdida.


25 novembre 2017 - 3 février 2018
Vernissage 25 novembre

Partant de l’idée que l’Homme construit sa compréhension du monde par le biais de la (re)connaissance des formes qui l’entourent, l’exposition Pattern propose d’observer le signe, le motif ainsi que les comportements développés autour, à travers un ensemble d’œuvres issues de la création contemporaine. Le terme « pattern » d’origine anglaise est ici volontairement employé – à la différence de son presque synonyme « motif » - pour sa capacité à traduire autant la forme que les enjeux psychologiques, sociologiques voire politiques auxquels il renvoie. En effet, là où le « motif » vient circonscrire son objet aux images ou aux signes, le « pattern » ouvre l’espace de réflexion pour devenir l’écrin de regards portés sur l’histoire, la colonisation, l’art ou encore le lien entre signifiant et signifié. Ainsi, dans cette proposition au sein de laquelle se côtoient différents médiums, artistes nationaux et internationaux oscillent entre figuration et abstraction dans une tentative d’extraire ou donner un sens au palpable et à l’impalpable.

 
Salle Alfred Pellan
1395, boulevard de la Concorde Ouest
Laval, Canada 
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                         Kaya Behkalam et Azin Feizabadi, The Negotiation, 2010                                                                  Artur Zmijewski, Repetition, 2005                                                      John Wood et Paul Harrison, 10 x 10, 2011
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JEU ET DIVERSION​
Avec: An Te Liu, Josh Bricker, Kaya Bekhalam et Azin Feizabadi, Julie Chaffort, Grier Edmundson, Stéphane Gilot, Marc-Antoine K. Phaneuf, Chloé Lefebvre, Benjamin Nuel,
 Geörgette Power, Pilvi Takala, Yann Vanderme, John wood et Paul Harrison, Artur Zmijewski
​Commissaires: Patrick Bérubé et Chloé Grondeau

Jeu et diversion imagine un tour d’horizon de la pratique contemporaine à travers le prisme du jeu pensé comme dispositif critique. Appuyé par un corpus d’œuvres, il met en exergue, sous de multiples formes, la porosité entre le jeu et les questionnements socio-économiques. 


Art souterrain
Montréal, Canada

Arsenal contemporary art contemporain
2020, rue William
Montréal, Canada


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4 - 26 mars 2017
Vernissage 4 mars 
Dévoilement de la programmation 21 février, 18h - 21h / Arsenal


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Ce que racontent les couloirs jaunes - Stéphane Gilot
Performance 
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21.03, 13h - 14h
Cité Internationale - Montréal

Dans le cadre de la proposition installative et sonore Ce que racontent les couloirs jaunes de Stéphane Gilot, une performance de Caroline Boileau, Hanna Sybille Müller et Alisha Piercy sera proposée le mardi 21 mars de 13h à 14h. 



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http://www.artsouterrain.com
http://www.arsenalmontreal.com


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ADC/DAC
PHILLIP DAVID STEARNS

Commissaires: Nathalie Bachand et Chloé Grondeau
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Diagonale
Montréal, Canada

6 mai - 11 juin 2016
Vernissage le 5 mai, 18h

Puisant sa matière au cœur de l’abstraction numérique, Phillip David Stearns use des technologies et médias électroniques pour explorer les relations dynamiques entre idées et matière tels que mobilisés au sein de nos sociétés complexes et interconnectées. L’artiste new-yorkais déploie ainsi à Diagonale ADC\DAC, une exposition regroupant 3 œuvres distinctes qui proposent aux visiteurs d’éprouver la multiplicité de son vocabulaire objectale et numérique.

"Vestigial Data" est une installation formée de trois tapisseries – réalisées au métier Jacquard – représentant, chacune, un ensemble de données perdues puis demeurées cachées au cœur de l’ordinateur après des pannes informatiques. Par des processus algorithmiques de développement, ces « fantômes dans la machine » révèlent des structures et des motifs minimalistes étonnants. Avec ce projet, Stearns poursuit son exploration des matières textiles comme médias tactiles et visuels, permettant la transmission et le stockage de données. D’un tout autre registre, l’installation vidéo "A Consequence of Infinitely Discursive Vision Technologies" opère une réflexion sur l’interprétation contemporaine de la notion de paysage. Composé de néons et d’images de glaciers passées au scanner, cet ensemble luminescent de patterns numériques revisite les notions d’échelle, de localisation et de spatialité. Enfin, "Smooth and/or Striated" postule le caractère illusoire de l’indétermination, d’un état d’entre deux. Ce faisant, l’œuvre deleuzienne – rappelant les notions d’espaces lisses et striés du philosophe français – met à l’avant-plan la qualité binaire de cet interstice reliant deux extrêmes, dont la variation granulaire fait alterner le territoire visuel entre homogénéité et hétérogénéité.



Présentée dans le cadre de la Biennale Internationale d’Art Numérique (BIAN) 
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Vues de l'exposition L'art est-il devenu sans importance? © Guy L'Heureux
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L'ART EST-IL DEVENU SANS IMPORTANCE?
Steve Giasson
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Diagonale
Montréal, Canada

20 novembre 2015 - 6 janvier 2016
Vernissage le 19 novembre à 18h

Artiste conceptuel usant d’une pluralité de médiums pour questionner l’art et ses vassaux, Steve Giasson investi la vitrine de Diagonale et propose L’art est-il devenu sans importance?, une installation évoluant à la lisière de l’indicible. Jouant sur le doute, l’artiste malmène les codes de l’art au moyen d’objets familiers disposés nonchalamment tels de vulgaires accessoires du quotidien, effrontément lovés au regard de tous, devenus spectateurs de l’art à leur insu, inconscients de ce qui s’offre à eux. Steve Giasson présente ainsi une discrète mise en exergue d’une réflexion contemporaine menée par Michael J. Lewis(1), quant à la pertinence des discours plastiques en art contemporain. Ce dernier ne serait-il pas devenu un parc d’attractions peuplé de « manèges » désincarnés, privilégiant l’expérience spectaculaire à une approche encrée dans le monde et ses préoccupations socio-politiques?

​L’artiste imagine un ensemble rhizomique de référents cinématographiques, artistiques et littéraires, tous trois mués en un déploiement d’objets devenus sculpturaux : Une figure baudelairienne et ses attributs incarnés par une plante artificielle sous GHB, un t-shirt rappelant une marque de luxe et pensé comme une excroissance de vedettes désabusées, un Kraft Dinner comme artefact du film Last Days de Gus Van Sant - lui-même imaginé en référence aux derniers jours du chanteur suicidaire, Kurt Cobain. Steve Giasson s’amuse à opérer des parallèles entre les univers possiblement ostentatoires de la presse people et de la création, comparant la posture ambigüe de l’art à l’univers en perdition du vedettariat. Nul ne serait étonné de croiser dès lors, évoluant parmi la proposition, un Jared Leto (2)  fanatique d’une certaine oisiveté, arborant pour simple vêtement ce t-shirt faussement revendicatif: ENFANTS RICHES DÉPRIMÉS (3). Dans une main, un plat de nouilles, et dans l’autre, un article de fond interrogeant la propension de l’art à dire le monde. 
                                                                                                                                                                                                
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1- Michael J. Lewis, Has art become irrelevant?, e-flux, http://conversations.e-flux.com/t/has-art-become-irrelevant/2269
2- Steve Giasson propose une copie d’un t-shirt porté par l’acteur américain

3- Inscription sur le t-shirt de la marque franco-américaine éponyme


   
                                                                                                                                               Steve Giasson, Droguer une plante artificielle, 2015

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http://www.stevegiasson.com/

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AUTEURS PRÉSUMÉS
Émilie Roi (Fr), Guillaume Adjutor Provost (Ca), 
Ann Guillaume (Fr), Laurent Kropf (Su), Olivier Vadrot (Fr)


Galerie des étables
Bordeaux, France

1 - 26 juillet 2015

La pratique curatoriale fait l’objet constant de débats au sein de l’art actuel, renouvelant sans cesse la définition de son rôle. Ainsi, de nombreuses discussions publiques s’organisent autour de l’identité du commissaire, tentant d’en déterminer les modalités et enjeux via la pluralité des pratiques dessinant l’histoire de l’art contemporaine. Il s’agit, dans les discussions actuelles autour de son statut législatif, de lui offrir la reconnaissance d’être l’auteur supposé de son exposition, en lui attribuant le rôle "d’écrivain" puisque sa pratique relèverait d’une oeuvre de l’esprit.  AUTEURS PRÉSUMÉS questionne le statut du commissaire à titre d’auteur.

Le projet propose un laboratoire réflexif où artistes et commissaires se rencontrent au coeur d’un espace donné, afin d’établir un dialogue autour de ces enjeux et s’affranchir des codes qui prédéterminent leurs fonctions jusqu’à la perte éventuelle des rôles de chacun. Les collaborateurs prennent part à l’échange durant 2 semaines autour de la pièce Tribune réalisée par Olivier Vadrot (Fr), dont la fonction scénique est de contraindre le corps à la rencontre et à la discussion.


Auteurs présumés est une production du collectif S\\E//C rendue possible grâce au soutien de la Mairie de Bordeaux, Le Conseil des Arts et des Lettres du Québec ainsi que Les Offices Jeunesse Internationaux du Québec.



​http://annguillaume.fr/
http://www.laurentkropf.net/​
http://www.guillaumeadjutorprovost.com/​
http://www.vadrot.com/home/



    
    
   
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TROIS MOUVEMENTS DE RETRAIT POUR UN ATM
Dominique Pétrin

Galerie Néon
Lyon, France

07 mai-04 juillet 2015

Dominique Pétrin, artiste visuelle montréalaise de renommée internationale, s'est fait connaître pour ses performances anti-diplomatiques au sein du groupe de musique Les Georges Leningrad. Pratiquant la sérigraphie depuis une dizaine d'années, elle s'intéresse tout d'abord aux moyens d'altérer la perception et la conscience, jusqu'à l'utilisation de l'hypnose dans ses performances. Ce questionnement se retrouve dans ses installations de papier peint, où la prolifération des motifs et des couleurs se mêle aux images populaires de l'Internet (pizzas, palmiers, pharaons numériques, etc.). À leur banalité presque iconique, elle oppose la préciosité de la technique sérigraphique, l'agencement savant des couleurs intenses et la décomposition de l'espace par le trompe l'œil; autant d'effets baroques pour un résultat proprement hallucinatoire, déjouant les processus cognitifs habituels de la vision et du bon goût.

L'exposition «Trois mouvements de retrait pour un ATM» s'inscrit en prologue à un ambitieux projet d'échanges artistiques entre Montréal et Lyon, initié par Chloé Grondeau et Marthe Carrier, et chapeauté par la Galerie B-312 (Montréal). Ce projet sera notamment l'occasion de découvrir en 2016, une partie de la scène artistique montréalaise, sélectionnée par ces deux commissaires, dans divers lieux d'art de la ville de Lyon.

Trois mouvements de retrait pour un ATM est rendue possible grâce au soutien de la galerie Néon et du Conseil des Arts du Canada.




http://www.dominiquepetrin.com/

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